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melimelodit

15 juillet 2006

OH HE !!!

PLUS VITE QUE CA FAUT PAS ME PRENDRE POUR UNE NOUILLE !!!

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15 juillet 2006

PETIT JEU QUI ENERVE LES VACANCIERS

son_ou_couleur

9 juillet 2006

TODAY IS ANOTHER DAY

TODAY on voit bleu

 

TODAY on voit blanc et on voit rouge

 

TODAY on voit deux trois blancs et une dizaine de blacks et on les aime TOUS

 

TODAY on chantonne tous la même chanson débile

 

TODAY on va tous larmoyer en marseillaisant

 

TODAY on va tous aller sur TF1

 

TODAY on a tous un ballon rond dans la tête

 

TODAY TODAY TODAY

 

TOUT LE MONDE IL EST FOOT

 

TOUT LE MONDE IL EST GENTIL

 

BUT

 

TOMORROW….

 

TOMORROW Ségolène, Nicolas, Jean-marie…

 

TOMORROW Al-kaida, Guantanamo, bande de Gaza

 

TOMORROW canicule, sans-papiers, crash en Sibérie…

 

TOMORROW viendra…bien assez tôt

 

Profitons de TODAY

 

TODAY IS CARPE DIEM

 

 

 

 

24 juin 2006

ETE ET AVOIR ETE

Première soirée d’été.

Présents au rendez-vous : Wonderma, Juju, mes TDC, le Chardonnay frais, les pizza livrées par DOMINOS, les potins, les bougies qui brûlent encore sur la terrasse, nos rires, les disputes des enfants ; invité du jour : France-Togo 3-0 ; et la musique sur mon pc : Ayo, Down on my knees, ça donne le frisson.

Mamamia décline à une vitesse vertigineuse. Tout à l’heure, je ferai le voyage pour voir de mes yeux voir ce que je crains de voir. Ir-réversible, l’in-curable, in-soulageable, in-soutenable, in-supportable, in-évitable. Mais il faut accepter, supporter, soutenir, regarder, c’est la réalité de la vie qui s’en va.

 

19 juin 2006

J-7

RALENTISSEMENT MOMENTANE D’ACTIVITE POUR CAUSE D’AFFOLEMENT DE DERNIERE MINUTE AVANT LE BREVET DES COLLEGES .

LA GRANDE

GAZELLE

VA FAIRE DEVENIR SA MAMOUNE CHEVRE.

 

(A+B)²=A²+2AB+B²

LE CARRE DE L’HYPOTHENUSE EST EGAL A

LA   SOMME

DES

CARRES DES CÔTES.

TRANSLATION

SYMETRIE DE COORDINATION

CRISE DE 29 DU CARRE DES COTES

GRANDE GUERRE DE

LA DENSITE

D

’EQUATION

PRODUIT NATIONAL BRUT DE L’HYPOTHENUSE

 

PSYCHODRAME SUR CANAPE. MERE NON PEDAGOGUE CONTRE FILLE NON SCOLAIRE. MERE ANCIEN RAT DE BIBLIOTHEQUE CONTRE FILLE ALLERGIQUE AU PAPIER.

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24 mai 2006

PETITE ANNONCE

 

Femme. Célibataire. Divorcée. Mère de 3 TDC. Vie sociale hyper-active…

Mais, NE cherche PLUS de mari. Désordonnée. Distraite. Dilettante en plein de domaines…Mais, NE cherche PLUS de mari. Fauchée souvent, Fatiguée parfois, Foldingue en permanence…Mais, NE cherche PLUS de mari.

 

Juste de l’amour.

Juste des moments.

Juste rire.

Juste baiser.

Juste partager.

Juste un homme.

Juste une épaule, une main, enfin deux si possible, juste un sexe, des fesses, des petites poignées d’amour enfin tout de qui va avec le pack de l’amoureux.

 

Si je mets ça dans meetic, je suis pas sûre de rameuter les foules…

24 mai 2006

MARCHER DEDANS

MARCHER DANS UNE MERDE DU PIED GAUCHE

JE SAIS CE QUE CA VEUT DIRE…

MAIS MARCHER PIED NU DANS LE VOMI DU CHAT EN SE LEVANT

ET DU PIED DROIT…

CA A DU SENS ????

22 mai 2006

MARCHER LOIN....

J’ai lu la note de PBE (vous la connaisseez pas elle est sur 20six) qui dit qu’elle marche loin derrière sa fille parce qu’elle se fringue un peu space. J’ai souri.

Et tout à l’heure quand j’ai accompagné TDC1 chez le kiné, elle m’a dit heureusement que tu descends pas de la voiture !!!

Il paraîtrait que je suis fringuée comme une SDF.

Alors là je commence à me poser des questions.

Il y a quelques temps une copine m’a dit que j’étais très folklore pays de l’est…

Puis un collègue qui me voyait arriver a dit « tiens voilà la bohémienne ! »

Pourtant moi j’aime bien mes docks roses, ma jupe noire à pois roses et blancs, mon petit bateau noir. Dit comme ça c’est rien d’extaordinaire. Bon c’est vrai souvent je rajoute un poncho au crochet fushia et un turban en velours rouge et rose dans mes cheveux et je noue une veste noire sur mes hanches pour cacher mes rondeurs….

C’est pour ça que TDC1voulait pas me montrer, elle dit que je suis fringué comme quelqu’un qui s’en fout et prend ce qui lui tombe sous la main dans l’armoire….

DOMMAGE J’A-DO-RE MEFRINGUER COMME CA… ET JE CHANGERAI PAS, LALALALALERE !!!!

22 mai 2006

A CAUSE D'edouard

fond_de_merSur la plage

Sous l’orage

J’ai ramassé trois coquillages

Au fond de ma poche, les ai glissés

Puis je les ai oubliés.

 

Dans ma main

Un matin

Trois coquillages ont glissé.

Contre mon oreille, les ai posés

Alors ils ont raconté.

 

Le premier était un tout petit coquillage blanc, à peine caressé par le sable et les vagues de l’océan. Il avait peu voyagé.

Né au plus profond d’une crique de Méditerranée, il avait suivi ses parents vers les eaux plus agitées de l’Atlantique. Au bord d’une plage de biarritz. Là, il était heureux comme un coquillage dans l’eau.

Rien ne l’arrêtait : ni les lames de fond, ni le fort courant des Baïnes, ni les filets des chalutiers. Ni même Edouard, le gros bar cendré qui, depuis fort longtemps, cherchait à l’attraper. Il aimait aller le narguer lorsqu’il faisait sa sieste au creux des rochers bleus de la chambre d’amour. Il virevoltait autour de lui pour que l’eau vienne lui chatouiller les branchies. Il lui pinçait le bout des nageoires, le bout de la queue… Et si tout cela n’avait pas réussi à le sortir de son sommeil, il avait une botte secrète. Il remontait à la surface de l’eau, se gorgeait d’air marin, redescendait, et soufflait des milliers de bulles qui lui chatouillaient tant les narines, que cent fois il éternuait. Furieux d’être réveillé, Edouard se lançait à sa poursuite, sans jamais pouvoir l’attraper.

Mais un beau jour…Un beau jour ou un mauvais jour…tout se passa si différemment. Le gros bar entra dans une colère noire. Il n’était plus cendré mais charbonneux. Le petit coquillage comprit mais trop tard qu’il avait abusé de la bonté d’Edouard. La plaisanterie n’avait que trop duré et le gros bar furieux poursuivit le petit coquillage jusqu’à ce qu’épuisé, il finisse par s’échouer sur la plage des basques.

Depuis, piétiné par des vacanciers, posé en décoration sur des châteaux de sable, il restait des heures à sécher au soleil. Il regrettait ce qu’il avait fait, il était malheureux…

 

Doré comme un petit pain, strié de rainures nettes et régulières, le second coquillage logeait tout juste au creux de la paume de ma main. Une petite cicatrice blanche dessinait comme une demi-lune, sur le bord de sa coquille. Elle lui rappelait le cuisant souvenir du soir où il s’était battu avec un crabe hargneux et borné. Il soutenait mordicus qu’un coquillage ne pouvait pas être amoureux d’une anémone de mer. Le combat fut acharné et violent, mais personne ne le gagna. Chacun repartit sans avoir prouvé à l’autre qu’il avait raison. Sur le champ de bataille, ne restaient qu’un petit éclat de coquille, et une pince du crabe, vestiges peu glorieux.

Mais le jeune coquillage était têtu et il voulut prouver au crabe borné que l’amour se joue des différences. A la bêtise, il ne répondrait pas par la violence. Il alla sans tarder trouver l’anémone de mer, pour lui déclarer son amour. Celle-ci fut si émue, que ses tentacules passèrent par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel, et qu’elles vinrent l’enlacer tendrement.

Pendant quelques années, ils connurent un bonheur parfait, que tout le monde enviait. Si différents mais si proches, ils avaient prouvé au crabe hargneux la bêtise de son attitude. Parfois le coquillage souffrait de ne pouvoir tout partager avec son anémone, attachée irrémédiablement à son rocher. D’autres horizons le tentaient, mais il avait choisi son destin et il devait l’assumer. Il évitait de regarder trop souvent les profondeurs infinies et retournait se blottir dans les tentacules de sa bien-aimée. Pourquoi vouloir plus que cette tendresse partagée ?

Mais un beau jour…Un beau jour ou un mauvais jour….Les profondeurs maritimes s’assombrirent, et une tempête sous-marine dévasta les fonds rocheux. L’air, la lumière, la nourriture, tout avait changé. L’anémone de mer s’y adapta facilement, forcément, attachée qu’elle était à son rocher !

Il regardait au loin, où tout était différent sûrement. Et il frémissait, tiraillé entre la peur et l’envie de s’y aventurer.

Puis, il posait les yeux sur son anémone immobile et heureuse de l’être. Et il frémissait attendri à l’idée de tous les bonheurs qu’il avait connus près d’elle. Il savait qu’elle ne pourrait pas le suivre. C’est alors qu’il fut happé par la gueule d’un énorme poisson, un bar nommé Edouard, qui le ballotta en tous sens, et le projeta à une vitesse vertigineuse sur le sable d’une plage.

 

Depuis, piétiné par des vacanciers, posé en décoration sur les châteaux de sable, il restait des heures à sécher au soleil. Il regrettait le temps d’avant, il avait peur du futur. Il était malheureux….

 

C’est alors qu’intervint le troisième coquillage. Nacré, presque transparent, c’était un long couteau ciselé par les marées, poli par le sel et le sable. Il avait vécu. Il était beau. Il était émouvant. Il parla au petit coquillage facétieux et au jeune coquillage déboussolé :

 

- Ne soyez pas malheureux, tirez plutôt des leçons de ce que vous venez de vivre. Que chaque instant de votre vie soit un cheminement, une étape qui vous conduit, vous grandit. Les chemins de la vie sont parfois arides et rudes. Si vous avez fait des erreurs, ne passez pas votre vie à les regretter, mais tirez-en des leçons. As-tu compris, dit-il au petit coquillage, que même avec ses amis les plus patients, il y a des limites à ne pas dépasser. Mais pour les découvrir, au moins une fois, il faut les franchir.

Et toi, jeune coquillage, ne regrette pas ton passé. Il a fait de toi ce que tu est aujourd’hui. Il t’a construit. Ne regrette pas tes choix, ils t’ont mené où tu es aujourd’hui. Mais ne crains pas les nouveaux chemins qui s’ouvrent à toi.

 

Quand le couteau s’est tu, les deux coquillages regardaient au loin avec des sourires lumineux. Ils voulaient regagner la mer, c’est là qu’était leur vie, c’est là que leurs rêves se réaliseraient, c’est là qu’ils construiraient leur bonheur.

 

Je les ai posé tous les trois sur le sable.

 

Une première vague a happé le premier coquillage pour le reconduire à ses parents.

 

Une seconde vague a happé le second coquillage pour le mener vers son avenir.

 

Mais lorsque la troisième vague est venue, le couteau ciselé est resté sur le sable. Il ne voulait pas me quitter. Il voulait rester avec moi pour que je n’oublie jamais ce qu’il avait dit.

 

Sur la plage

Sous l’orage

J’ai posé, trois coquillages

Les vagues deux en sont emporté

Le troisième est resté.

 

Dans ma main,

Tous les matins

Un coquillage se glisse

Et contre mon cœur, je le pose

Pour ne pas oublier…

18 mai 2006

RIEN A DIRE DE PLUS

BLOGGEUR

SI

TU CLIQUES

LA

PENDANT 11 MINUTES

TU AURAS MAL

TU SENTIRAS TON CŒUR SE SERRER A NE PLUS POUVOIR RESPIRER

TU SENTIRAS LE FROID SUR TOI

TU  LAISSERAS LES LARMES T’INONDER

TU NE SOURIRAS PAS

TU NE PARLERAS PAS

TU REGARDERAS SEULEMENT

UNE FOIS SEULEMENT CAR ON NE REGARDE PAS CA DEUX FOIS

REGARDE VRAIMENT S’IL TE PLAIT…

 

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